Le Cabinet de Caumont et la FFMC (Fédération Française des Motards en Colère) attaquent le stationnement payant des deux-roues motorisés !
Suivant délibérations du Conseil de Paris affichées courant juillet 2021, la ville de Paris a officiellement instauré le stationnement payant des deux-roues motorisés à compter du 1er janvier 2022.
Par ailleurs, il a été découvert, à cette occasion, que le stationnement payant des trois-roues motorisés était, non seulement applicable depuis une délibération datée de 2017 (disposition vraisemblablement jamais mise en œuvre à ce jour) mais, surtout, que le montant de la redevance serait le même que celui applicable aux voitures (alors même qu’un tarif spécifique sera applicable aux deux-roues motorisés).
Renouvelant sa confiance envers ce cabinet très spécialisé dans ce domaine, la FFMC – Paris Petite Couronne (FFMC PPC) a donc mandaté Maître Eric de Caumont, qui a déposé deux recours en annulation, auprès du Tribunal administratif de Paris, contre lesdites délibérations du Conseil de Paris.
Dans l’attente des décisions qui ne seront, malheureusement, pas rendues avant plusieurs mois, il est plus que jamais nécessaire de rester mobilisé pour le stationnement gratuit des deux et trois-roues motorisés et contre cette mesure injuste, incohérente et disproportionnée au regard des objectifs recherchés !
Prochain sujet ‘brûlant’ à débattre, celui – scandaleux – des cyclistes et trottinettes qui d’une part, passent leur temps à brûler et griller en permanence les feux rouges…
Et qui se déplacent sans casque, ni assurance !!!!
DE VÉRITABLES DANGERS ... Et que la mairie de Paris accepte sans sourciller, ni prendre des décisions indispensables qui s’imposent ! Et ce pour réglementer ces nouveaux engins de la mort à chaque carrefour!
Et impunis… EUX!
On aimerait entendre un peu plus, la maire de Paris sur ce véritable SCANDALE, elle qui ne pense qu’à sa candidature à la présidentielle, où elle stagne à 4%, ce qui est un score ridicule et qui démontre son échec total à la mairie de Paris!
Elle, dont les services municipaux, trouvent quotidiennement le temps d’enlever des deux roues jugés -arbitrairement – mal stationnés !!!
Gilles GAIGNAULT
Photos : Gilles VITRY